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Une erreur ne te définit pas
C’est pas “je suis nul”, c’est “je galère sur ce truc précis”.
C’est pas “je suis à la bourre”, c’est “j’ai pas mis de limites claires”.
C’est pas “j’ai pas avancé”, c’est “j’ai passé ma semaine à éteindre des feux qui n’étaient pas les miens”.
Tu imagines tes problèmes
Quand on n’a pas de vrais problèmes dans la vie, notre mental se met à en imaginer pour nous.
Ou, comme le disait Sénèque : « Nous souffrons plus dans l’imagination que dans la réalité ».
Procrastiner c’est sexy
La procrastination, c’est pas un manque de volonté. C’est un excès de protection.
Ton cerveau n’est pas feignant. Il est flippé.
Il retarde ce qui t’expose : l’échec, le regard des autres, l’effort, l’inconfort, l’absurde incertitude.
Donc il te balade avec un “je m’y mets demain” très bien ficelé.
Donne un nom à ce qui t’arrive
Ce que tu ne nommes pas, tu le subis
Un flou, c’est pas neutre. C’est un piège invisible.
Tant que tu n’as pas mis un mot dessus ça t’épuise en arrière-plan.
Nommer, c’est le premier acte de pouvoir.
Tu réagis ? Alors tu subis
Réagir, c’est survivre. Anticiper, c’est construire.
Tant que tu réagis aux urgences, aux mails, aux attentes implicites, tu joues sur le terrain des autres.
Et tu peux pas construire un business solide en mode pompier.
T’as pas besoin d’avoir toujours raison
L’obsession de faire le bon choix t’empêche de devenir la bonne personne.
Tu veux avoir raison ?
Tu veux être sûr(e) de faire le bon choix avant de trancher ?
Spoiler: tu vas attendre longtemps.
La pire des stratégies
Ce que tu appelles “stratégie”, c’est peut-être juste de la fuite bien habillée.
Tu sais, ce moment où tu passes des heures à planifier, re-structurer, poser les bases du “système parfait” ?
Mais au fond… tu sais que t’es juste en train d’éviter le moment où il faut envoyer le message, faire l’offre, dire “non”, dire “oui”, bref, prendre une vraie décision.
T’es pas tout(e) seul(e)
Tu te sens « brouillon » ? Arrête de méditer dans ton coin.
Y’a un moment où, à force de réfléchir, tu finis par tourner en rond.
T’ajoutes des couches de doutes, et au final tu changes 12 fois d’avis et tu ressasses tout ça en mode Alzheimer précoce (rassure-toi, on le fait tous).
Ton prix n’est pas un problème
Ton prix ne gêne pas ton client. Il te gêne toi. Quand tu dis ton tarif avec la voix qui tremble, les yeux qui fuient et une phrase du genre “mais on peut s’arranger hein…” le problème, ce n’est pas le prix. C’est le signal que t’envoies : “Moi-même je doute que ça les vaille.”
Pas encore abonné(e) ?
Pas grave, j’suis pas rancunier 😇
Maintenant, tu sais ce qu’il te reste à faire !
