C’est pas “je suis nul”, c’est “je galère sur ce truc précis”.
C’est pas “je suis à la bourre”, c’est “j’ai pas mis de limites claires”.
C’est pas “j’ai pas avancé”, c’est “j’ai passé ma semaine à éteindre des feux qui n’étaient pas les miens”.
C’est pas “je suis nul”, c’est “je galère sur ce truc précis”.
C’est pas “je suis à la bourre”, c’est “j’ai pas mis de limites claires”.
C’est pas “j’ai pas avancé”, c’est “j’ai passé ma semaine à éteindre des feux qui n’étaient pas les miens”.
Quand on n’a pas de vrais problèmes dans la vie, notre mental se met à en imaginer pour nous.
Ou, comme le disait Sénèque : « Nous souffrons plus dans l’imagination que dans la réalité ».
La procrastination, c’est pas un manque de volonté. C’est un excès de protection.
Ton cerveau n’est pas feignant. Il est flippé.
Il retarde ce qui t’expose : l’échec, le regard des autres, l’effort, l’inconfort, l’absurde incertitude.
Donc il te balade avec un “je m’y mets demain” très bien ficelé.
Ce que tu ne nommes pas, tu le subis
Un flou, c’est pas neutre. C’est un piège invisible.
Tant que tu n’as pas mis un mot dessus ça t’épuise en arrière-plan.
Nommer, c’est le premier acte de pouvoir.
Réagir, c’est survivre. Anticiper, c’est construire.
Tant que tu réagis aux urgences, aux mails, aux attentes implicites, tu joues sur le terrain des autres.
Et tu peux pas construire un business solide en mode pompier.
L’obsession de faire le bon choix t’empêche de devenir la bonne personne.
Tu veux avoir raison ?
Tu veux être sûr(e) de faire le bon choix avant de trancher ?
Spoiler: tu vas attendre longtemps.
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